LA NIVEROLLE ALPINE

Montifringilla nivalis

Moineau des cimes, la niverolle aime la neige et les conditions atmosphériques difficiles… Elle ne descend presque jamais plus bas que 1500 mètres et il lui arrive de passer la nuit à plus de 3000.

Zermatt/VS, février 2020

Une bien longue absence. Il était temps qu’elle fasse une nouvelle apparition ! Au Tessin, cette fois-ci et plutôt réussie.

LE MILAN ROYAL

Milvus milvus

Bien qu’en expansion constante, cet élégant rapace, à la queue fortement échancrée et aux taches claires sous les ailes, si typiques, parle plutôt suisse allemand.

Mais il a fallu revenir en Suisse romande pour réussir une première photographie. Rien d’extraordinaire, mais ce n’est que le commencement.

Marais de Sionnet/GE, décembre 2020

Une brève escapade. C’est plus facile là où ils sont nombreux.

Altstätten/SG, août 2021

En vol, il est déjà beau. Mais quand il se pose, il est tout simplement magnifique !

Inkwilersee/SO, septembre 2021

Ce jour-là, il nous en a mis plein la vue.

Flachsee/AG, décembre 2021

Nous ignorions que le mieux allait venir.

Réserve d’Auried/FR, juin 2022

LE PIC VERT

Picus viridis

Un pic reste un pic.

Zermatt/VS, juillet 2020

Mais celui-ci, contrairement à ses cousins, n’aime pas trop les arbres, qu’il fréquente uniquement pour y creuser son nid. Il préfère rester à terre, où il pourchasse les fourmis avec une habileté diabolique.

Lac des Vernes/GE, novembre 2020

Malgré tout, les arbres gardent leur attrait.

Marais de Sionnet/GE, avril 2021

Décidément, il ne veut pas faire comme tout le monde.

Puplinge/GE, mai 2021

Aïre/GE, avril 2022

Mangeur de fourmis ? Sans aucun doute.

Parco della Pace/Locarno, mai 2022

L’HIRONDELLE DE FENÊTRE

Delichon urbicum

Dansant élégamment dans les airs, elle paraît noire et blanche, mais lorsque vous arrivez à la voir de près, ses reflets bleuâtres apparaissent clairement.

Cela tombe bien. Celle-ci s’était frottée à un cycliste.

Bellinzona/TI, juin 2020

Une nouvelle génération s’annonce.

Sementina/TI, juillet 2023

Valle Lavizzara : la voute du barrage du Sambuco et ses prises artificielles d’escalade ont été, ces dernières années, le terrain de jeu des Hirondelles de rochers. Même prise, hirondelle différente !

Mais revenons à des habitats plus courants pour notre hirondelle : un milieu rural et des murs de maisons où accrocher leurs nids.

Des dizaines et des dizaines d’oiseaux volent au-dessus de nos têtes. Rapides et changeant constamment de direction, ils fuient nos objectifs. Heureusement, de temps en temps, ils ressentent le besoin de se poser.

LE MERLE À PLASTRON

Turdus torquatus

Mon premier apparut, il y pas mal d’années, dans le parc national italien. Mon deuxième se dévoila quelques mois plus tard au Creux-du-Van. Il m’a fallu de nombreuses années pour apercevoir mon troisième.

Jschalp/GR, juin 2020

Une rencontre avec lui se mérite, car il vit en altitude. Il a fallu trois ans pour l’immortaliser à nouveau. Et, cette fois-ci, je n’étais même pas là ! Merci aux amis du site.

Bougnonne/VS, juin 2023

L’HIRONDELLE DES ROCHERS

Ptyonoprogne rupestris

Hirondelle rustique, hirondelle des fenêtres, hirondelles des rochers… Relativement faciles à observer en vol, beaucoup plus difficiles à surprendre sur leur perchoir de quelques instants.

Jschalp/GR, juin 2020

Celle-ci avait décidé de se reposer sur le mur de grimpe d’un barrage tessinois.

Diga del Sambuco/TI, août 2020

Ils ont faim et ils le font savoir. C’est dur d’être maman !

Disentis/GR, juillet 2021

Même barrage, d’autres photographes…

Il nous a fallu du temps pour la saisir en vol !

Diga della Pepa/TI, avril 2024