L’ALOUETTE LULU

Lullula arborea

Apercevoir des alouettes en vol c’est une chose relativement facile, les observer de près ou les photographier c’est une autre paire de manche, tant ces petits oiseaux sont toujours en mouvement ou se dissimulent parfaitement dans les plis du terrain.

Alors, distinguer une alouette lulu de sa cousine l’alouette des champs, qu’elle fréquente d’ailleurs, n’est pas une sinécure. Ci-dessous, la tache noire et blanche sur le bord de l’aile fait la différence. Le fait qu’elle soit perchée sur un piquet que ses cousines ne fréquentent guère est également un autre indice. Il s’agit bien d’une alouette lulu.

Signal de Bernex/GE, mai 2021

LA FAUVETTE BABILLARDE

Sylvia curruca

Je suis la plus petite des fauvettes. Plutôt discrète, je me cache souvent derrière le feuillage des arbustes denses, ce qui explique que vous ayez mis autant de temps à me photographier.

Lac des Vernes/GE, avril 2023

LA BÉCASSINE SOURDE

Lymnocryptes minimus

Bande sombre au sommet de la tête, bec court, rayures dorées sur dessus. il n’y a aucune doute, je suis une bécassine, mais je suis sourde.

Je ne suis pas facile à voir, encore moins à photographier. Mes compliments à celle ou à celui qui y est parvenu !

Foce del Vedeggio/TI, avril 2023

LA CISTICOLE DES JONCS

Cisticola juncidis

Les experts déterminent sa présence par son chant, car elle est difficile à voir par son habitude de se cacher dans les herbes à haute tige et les roseaux. De plus, elle n’est pas du tout commune dans nos contrées.

Christine et moi-même l’avions vue uniquement en Camargue. Elle fait son entrée sur le site grâce à Patrick.

Marais de Sionnet/GE, février 2021