Emberiza schoeniclus
Le mâle parcourt les roselières tel un bandit masqué cherchant sa proie. La femelle le suit, plus discrète. Tous les deux virevoltent d’une tige à l’autre, sans jamais s’arrêter longtemps.
Autant dire qu’ils ne sont pas toujours faciles à photographier. Mon premier essai n’était qu’un point perdu dans le marais. Depuis lors, nous avons tous fait des progrès.
Tant au Tessin qu’à Genève.
Lac des Vernes/GE, novembre 2020
Bolle di Magadino/TI, mars 2021
Marais de Sionnet/GE, mars 2021
Peu à peu, il est parvenu à devenir un compagnon régulier de nos sorties ornithologues.
Bolla Rossa/TI, avril 2023
Bolla Rossa/TI, mars 2024