LE FULIGULE MORILLON

Aythya fuligula

En hiver, il colonise les eaux de nos lacs, parfois au large, parfois dans les ports, par des dizaines, voir des centaines de couples. Impossible de confondre le mâle, huppe au vent, tout de noir et blanc vêtu, avec d’autres canards qu’il côtoie. La femelle, elle, est plus terne, habillée d’un brun plus ou moins nuancé. Mais comme elle ne quitte guère son compagnon, elle est aussi facile à identifier.

Sa fréquence décourage l’objectif. Mais parfois, la lumière s’en mêle.

Ile Rousseau/GE, novembre 2020

En début d’été, les Morillons se font plus rares. La plupart d’entre-eux ont migré vers le nord.

Mais quelques couples nichent chez nous. Ils ne sont pas nombreux et il est difficile d’apercevoir leurs poussins. Nous avons eu cette chance.

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