LE ROUGEQUEUE NOIR

Phoenicurus ochruros

Vu de loin, il paraît tout noir, reconnaissable seulement à sa queue qui s’agite nerveusement. Puis, de plus près, apparaît le gris-anthracite de la poitrine, le blanc des rémiges, l’orange vif du croupion et de la queue. Un bel oiseau dont on a de la peine à capter l’œil caché dans l’obscurité de sa tête.

*cliquez sur l’image

Giardino magico, Bellinzona, janvier 2020

C’est une autre histoire pour la femelle.

Réserve des Grangettes/VD, juin 2020

Quant à l’immature, jugez vous-mêmes.

Puplinge/juin 2020

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